Tampons et «cups»: l’Anses réclame une meilleure information sur le choc toxique SantéPublique
Tampons ou coupes menstruelles: toutes les protections intimes internes présentent un risque rare mais grave de choc toxique , souligne l’Anses danssur les règles d’hygiène à respecter.
Une vingtaine de cas sont recensés chaque année en France mais ce nombre est sans doute sous estimé, la déclaration de cette maladie due à une infection bactérienne au staphylocoque doré n’étant pas obligatoire. Seules 1% à 4% des femmes sont porteuses de la souche de staphylocoque impliquée dans le syndrome de choc toxique menstruel, et donc potentiellement à risque.
«dans l’état actuel des connaissances, le SCT n’est pas lié au matériau utilisé dans la composition de ces protections»«Le risque de développer cette maladie est lié aux conditions d’utilisation des protections intimes»
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