L’agence préconise notamment de ne pas utiliser de protections périodiques la nuit.
Icône utilisée pour voir valoriser le contenuIcône utilisée pour voir valoriser le contenuIcône utilisée pour page visiteFamille royale : le prince Harry s’exprime enfin sur le "Megxit"Planète : la Malaisie renvoie les déchets plastiques illégaux vers leurs pays d’originePublié leEn
2018, l’Anses avait déjà alerté sur les potentielles substances chimiques contenues dans les protections hygiéniques féminines. Ce lundi 20 janvier 2020, elle revient à la charge et déplore un sérieux manque d’information concernant les substances ajoutées dans les cups et les tampons.
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
Lady Diana et Meghan Markle : deux princesses « étouffant » sous les règles de la monarchie - ElleElles ne se connaîtront jamais, pourtant, un lien fort unit Meghan Markle et Diana Spencer. La première a donné naissance à un enfant dans les veines duquel coule l'héritage de la seconde. Lady Di, mère du prince Harry, disparue en août 1997, a elle aussi longtemps été mise de côté au sein de la...
Lire la suite »
Cups, tampons... l'Anses appelle les fabricants à donner plus d'informations sur les règles d'hygièneDans un rapport publié lundi, l'Anses demande aux fabricants de fournir «une information plus claire» sur les règles d'hygiène à respecter dans l'utilisation des cups menstruelles ou des tampons, après plusieurs cas de femmes ayant subi des chocs toxiques – un risque rare, mais grave. Parmi elles, Sandrine, infirmière de 36 ans, a témoigné dans le Parisien : «Quand j'entends que l'infection est liée à un mésusage des cups et tampons par les femmes, cela me met hors de moi, tant les informations que l'on nous donne varient. Prenez les cups, selon le fabriquant, il est écrit sur les notices que l'on peut les garder 4, 6, 8 ou 12 heures ! Comment on s'y retrouve là-dedans ?» Sandrine a été amputée des deux pieds et d'une partie de ses doigt à la suite d'un choc toxique causé par sa cup menstruelle. En 2017, Libé avait enquêté sur les pratiques opaques des industriels.
Lire la suite »
Cups, tampons... l'Anses appelle les fabricants à donner plus d'informations sur les règles d'hygièneDans un rapport publié lundi, l'Anses demande aux fabricants de fournir «une information plus claire» sur les règles d'hygiène à respecter dans l'utilisation des cups menstruelles ou des tampons, après plusieurs cas de femmes ayant subi des chocs toxiques – un risque rare, mais grave. Parmi elles, Sandrine, infirmière de 36 ans, a témoigné dans le Parisien : «Quand j'entends que l'infection est liée à un mésusage des cups et tampons par les femmes, cela me met hors de moi, tant les informations que l'on nous donne varient. Prenez les cups, selon le fabriquant, il est écrit sur les notices que l'on peut les garder 4, 6, 8 ou 12 heures ! Comment on s'y retrouve là-dedans ?» Sandrine a été amputée des deux pieds et d'une partie de ses doigt à la suite d'un choc toxique causé par sa cup menstruelle. En 2017, Libé avait enquêté sur les pratiques opaques des industriels.
Lire la suite »
Féministes, LGBTI et antiracistes, nous ne voulons pas de la loi CyberhainePour des personnalités et associations, la proposition de loi contre la haine sur Internet ne répond pas aux besoins des victimes et mènera à une censure de la part des plateformes numériques.
Lire la suite »
Choc toxique : l'Anses demande une information 'plus claire' aux fabricantsL'agence de sécurité sanitaire française s'inquiète du risque de choc toxique lié à l'usage des tampons et 'cups'.
Lire la suite »
L’Anses demande une information « plus claire » sur le choc toxiqueUne adolescente de 17 ans est décédée le 9 janvier dernier à la suite d’un « septique de ses tampons »
Lire la suite »