L’idée que l’air vicié aggrave les symptômes d’un virus provoquant des difficultés respiratoires dans sa forme aiguë peut sembler tomber sous le sens. Mais la raison de cet impact mérite d’être explicitée, car il va au-delà de la pandémie en cours.
Si ces résidus de pollution microscopiques sont déjà bien connus pour les dangers qu’ils font peser sur la santé humaine, les conséquences ici sont d’une amplitude bien différente. Une augmentation d′1 milligramme de microparticules par m entraîne une croissance de 0,73% du taux de mortalité en général chez les personnes exposées durant une longue durée, nous apprennent ainsi les chercheurs.
Pas de doute, il y a donc une sensibilité extrême à la pollution de l’air lorsque l’on est atteint du Covid-19, entraînée par la fragilité des poumons exposés aux microparticules. Mais la charge en dioxyde d’azote de l’air, que l’on respire serait elle aussi un facteur,, de l’université de Tel-Aviv, en comparant la carte européenne de la mortalité au coronavirus avec le taux de pollution au NO2.
Ses conclusions mettent en valeur cinq “hotspots” de cette pollution atmosphérique créée par la combustion de carburant fossile: la région de Madrid, et les quatre régions qui composent le nord de l’Italie: Lombardie, Émilie-Romagne, Piémont, Lombardie.
. Mais l’Hexagone et ses métropoles échappent à cet effet de cuvette par rapport à d’autres régions européennes, qui semble avoir accentué encore la mortalité du virus. Le HuffPost: Le 11 mai, ces profs craignent d’être les “cobayes de l’immunité collective”
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