L'article explore la nouvelle tendance de la droite et de l'extrême droite qui prône la réduction drastique de l'État, s'inspirant des idées d'Elon Musk et de Javier Milei. Ce discours se manifeste par la volonté de supprimer des agences publiques, de fusionner les régions et les départements et de limiter le nombre de ministères. L'article interroge si cette approche est une solution viable aux problèmes de déficit et soulève des inquiétudes quant à ses implications pour les services publics.
POLITIQUE - Il y a des volte-faces qui en disent beaucoup. Prenons Éric Ciotti. En ce début d’année 2025, le nouvel allié de. Pas effrayé par l’aspect falot que confère le rôle d’imitateur, le député des Alpes-Maritimes est allé jusqu’à reprendre la tronçonneuse du président argentin.
À sa décharge, le président de l’UDR n’est pas le seul à être sensible aux discours promettant la hache au fonctionnement de l’État. Des aspirations boostées par l’arrivée d’Elon Musk dans la galaxie Trump à la Maison Blanche, avec la mission explicite« J’en ai rêvé, Musk va le faire », , assume le député des Alpes-Maritimes, qui veut réduire le périmètre gouvernemental à 10 ministères, supprimer le Conseil économique social et environnemental et 400 agences de l’État ou fusionner les régions, les départements et les métropoles en une seule entité. Mêmes références chez Reconquête, où Sarah Knafo s’inspire ouvertement des mesures préconisées par Milei ou Musk.
Selon plusieurs observateurs, le concours Lépine lié à la transformation de la Fonction publique revêt, surtout, un intérêt purement politique. Voire, selon certains aspects, populiste. « François Bayrou résiste à sa dernière motion de censure sur le budget de la Sécurité sociale, la route se dégage
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