une société biopharmaceutique, pensent avoir mis au point un médicament qui, administré aux femmes à partir de 20 semaines de grossesse, pourrait les empêcher de développer la maladie.
une société biopharmaceutique, pensent avoir mis au point un médicament qui, administré aux femmes à partir de 20 semaines de grossesse, pourrait les empêcher de développer la maladie. A la tête de cette société, le professeur Asif Ahmed, fondateur de l'Aston Medical School de Birmingham, et scientifique vasculaire de renommée mondiale.
Avec environ 2 à 8 % des femmes enceintes qui en souffrent dans le monde, la prééclampsie est une dysfonction du placenta au cours de la grossesse dont l’origine reste encore inconnue. Cette pathologie peut avoir des complications mortelles, avec plus de 50 000 morts maternelles par an, et indirectement plus d’un million de morts fœtales ou périnatales dans le monde.
la prééclampsie a aussi des effets sur le long terme chez la mère, plusieurs années après la grossesse, au niveau cardiovasculaire, rénal, cérébral et hépatique. Le traitement actuellement recommandé pour la prééclampsie, avec toutes ses limites, est la prise préventive d’aspirine par les patientes à risque
. » Ce traitement a pour effet de faire baisser l’état pro-coagulant dans le placenta et de soulager partiellement le réseau vasculaire. Selon le journal britannique, leen janvier 2021 pour accélérer l'accès aux nouveaux médicaments essentiels au plus fort de la pandémie de COVID-19.
La pré-éclampsie est généralement détectée au cours de la seconde moitié de la grossesse et peut entraîner de graves complications si elle n'est pas détectée lors des rendez-vous avec la sage-femme. Les premiers signes comprennent l'hypertension artérielle et la présence de protéines dans les urines.
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