Difficile de se démarquer sur le marché déjà très encombré des consoles portables. Pour y parvenir, Lenovo a tout simplement copié l’un des maîtres en la matière : Nintendo. La Legion Go s’apparente effectivement à une Switch à laquelle on aurait greffé les entrailles de la ROG Ally d’ASUS.
Difficile de se démarquer sur le marché déjà très encombré des consoles portables. Pour y parvenir, Lenovo a tout simplement copié l’un des maîtres en la matière : Nintendo. La Legion Go s’apparente effectivement à une Switch à laquelle on aurait greffé les entrailles de la ROG Ally d’ASUS. Mélange contre nature ou vraie bonne idée ?ont presque toutes emprunté leur facteur de forme à la machine de Valve.
Venons-en à une partie plus technique en ouvrant au propre comme au figuré la Legion Go. En son cœur, c’est la puce Z1 Extreme signée AMD que l’on retrouve, c’est la même que sur la première ROG Ally, le modèle le plus puissant. Il s’agit d’un processeur doté de 8 cœurs Zen 4 jusqu’à 5,1 GHz pour la partie CPU et de 12 unités de calcul RDNA 3 jusqu’à 2,7 GHz pour la partie GPU.
Alors que les consoles portables sorties depuis le Steam Deck de Valve donnent l’impression de se ressembler, impossible de nier les efforts de Lenovo. Certes, la marque n’innove en réalité pas tant que ça, mais en empruntant beaucoup à la Switch de Nintendo, elle aboutit à un hybride de console et de PC intéressant.