Répression et chagrin en Iran, un an après la mort de Mahsa Amini
Le portrait de Mahsa Amini, lors d'une manifestation de soutien au mouvement de contestation en Iran, le 23 septembre 2022 à BruxellesPhoto obtenue par l'AFP hors d'Iran de manifestants à Téhéran après la mort de Mahsa Amini, le 21 septembre 2022Image UGC publiée sur Twitter, le 26 octobre 2022, d'une femme non voilée debout sur le toit d'une voiture, des milliers de personnes se dirigeant vers un cimetière à Saghez, dans...
Sa mort a été suivie par des semaines de manifestations de colère, menées en grande partie par des femmes, qui ont ouvertement défié le régime et ébranlé les autorités du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei. Les deux journalistes qui ont le plus suivi l'affaire, Niloufar Hamedi et Elahe Mohammadi, sont emprisonnées depuis près d'un an, tandis qu'une autre, Nazila Maroufian, qui a interviewé le père de Mahsa, Amjad Amini, a été détenue à plusieurs reprises.