Dans son rapport très attendu de seize pages, le Conseil scientifique a choisi... de ne pas choisir. Il évoque ainsi le fait que cette décision est 'éminemment politique' et n'est pas de son ressort
une 'petite vague'
". La communauté scientifique souligne aussi la possibilité de voir émerger"de nouveaux variants". Il"est peu probable qu'un nouveau variant soit détecté d'ici juin", souligne-t-il, tout en évoquant ce scénario. À défaut de se prononcer sur le report, le Conseil scientifique évoque les lignes qui devront être respectées que ces élections se déroulent en juin ou septembre. La campagne doit suivre"un protocole adapté" avecLes candidats devront si possible être vaccinés et testés régulièrement
. Le vote pourrait se dérouler"en extérieur" et la tenue du scrutin"obligera à un nettoyage strict" des écoles mobilisées. Et enfin, le Conseil propose d'et de réserver"une plage horaire privilégiée pour les personnes vulnérables, par exemple de 9 heures à 12 heures". La décision revient donc à l'exécutif.
, qui donnera lieu également à une consultation des formations politiques". Concrètement, un nouveau report commanderait l'accord du Parlement, par le biais d'un projet de loi.