Interrogé sur le débat du moment autour de la formation française, Raynald Denoueix assure que 'plusieurs modèles peuvent exister dans un pays' et que lors de sa période nantaise, il 'n’était pas sur la même longueur d’onde que la DTN'
Relancé sur des "principes restrictifs" qui se seraient diffusés dans l’élite du football français, à la suite du sacre de son équipe nationale en 1998, Denoueix est sceptique.
Denoueix salue ainsi les stratégies, au cas par cas, mises en place par des clubs français. L’idée d’une singularité nationale n’est à son sens plus d’actualité, et cela ne concerne pas que la France. "City, Liverpool cherchent tous à ressortir le ballon de derrière. Brest aussi.
Un entraîneur est jugé sur les résultats, et c’est rare que l’on gagne des Coupes d’Europe. Pourquoi Unai Emery arrive àj’ai eu beaucoup de contacts, et les présidents ne m’ont jamais demandé mon idée de jeuL’aspect médiatique et économique a dépassé ce qui se passe sur le terrain… pas seulement en France