🐝 À Marseille, les abeilles aussi travaillent à inventer la ville de demain. Sur le toit de Coco Velten, grâce à une solution imaginée par BeeOdiversity, elles servent de 'drones naturels' pour mesurer la pollution aux métaux lourds.
il y a 2 heures
Et elles travaillent, comme tout le monde ici, à inventer la ville de demain. D’abord, en produisant du miel urbain. Mais aussi, plus surprenant, en faisant des relevés quotidiens pour analyser l’état de la pollution aux métaux lourds à Marseille.explique Martin Antonietti, l’apiculteur amateur qui gère ces ouvrières.
C’est la Métropole Aix-Marseille-Provence qui l’y a invité, dans le cadre du projet Diam’s. Financé à 80 % par l’Europe, ce plan d’actions à 4,8 millions d’euros vise à déployerOutre les milliers de capteurs portatifs distribués à la population pour multiplier les mesures de particules fines, l’intercommunalité a décidé de financer ce projet de « biosurveillance » à hauteur de 20 000 euros.
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