Quand la cause animale fait le procès de l’homme L’antispécisme tient l’animal pour victime et l’homme pour coupable, en particulier les mâles.
On aurait pu sourire. L’auteur de la phrase, il est vrai, n’était alors qu’un agitateur d’idées parvenu à la notoriété à la faveur d’une émission du soir sur les ondes de la télévision publique.
en tant que député, comme avant lui la percée du Parti animaliste qui dispose désormais de précieux relais dans les conseils municipaux de grandes métropoles , a définitivement achevé de politiser la «libération animale». Son théoricien, Peter Singer, osait à peine en rêver lorsqu’il esquissait il y a un demi-siècle les contours de cette révolution qui se voulait d’abord philosophique et morale.
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