On reçoit «en moyenne 100 à 110 appels par jour», explique le cogérant d'un grand salon de coiffure d'Angers 🤯
Une vraie ruée ! Depuis lundi, de nombreux Français se précipitent dans les salons de coiffure. Conséquence directe : les délais d'attente explosent. Se basant sur les remontées de terrain, Véronique Revillod estime qu'il faut environ 3 semaines d'attente pour obtenir un rendez-vous.Franck Provost, président du groupe Provalliance , évoque pour sa part environ 10 jours d'attente pour les clients qui prennent des rendez-vous.
«Actuellement, très peu de clients viennent sans rendez-vous. On ouvre les salons petit à petit, au fur et à mesure de la demande»En banlieue parisienne, dans le Val-de-Marne, il faut s'y prendre à plusieurs reprises pour décrocher le précieux sésame. À Nogent-sur-Marne, dans un salon de coiffure «branché», le verdict est sans appel :, nous explique-t-on au bout du fil.
Au Perreux-sur-Marne, c'est un peu mieux. Un salon Jean-Louis David propose un rendez-vous samedi. Un peu plus loin, dans un petit salon familial, il est possible de se faire coiffer mercredi. Eurêka. La coiffeuse précise qu'il faudraEric, coiffeur: «Les gens sont vraiment pressés». Tanguy Le Guen, cogérant d'un grand salon Jacques Dessange, expliquait lundi recevoirIl y a beaucoup de travail chez certains clients.
De son côté, Christine, cliente d'un salon à Bry-sur-Marne, explique avoir reçu un mail de son coiffeur pendant le confinement pour lui proposer d'avoir un rendez-vous dès le 11 mai. De nombreux coiffeurs avaient ainsi anticipé les rendez-vous pendant leur fermeture. Leur «carnet de commandes» est aujourd'hui bien rempli.
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
Le confinement freine le coronavirus mais peut-être pas le VIHC'est le paradoxe du grand confinement : s'il freine la propagation du coronavirus, il pourrait indirectement aider un autre virus, le VIH. En effet, la priorité absolue donnée au Covid-19 a eu comme effet collatéral de fragiliser l'édifice de prévention sur lequel repose la guerre contre le sida.Travis Sanchez, épidémiologiste à l'université Emory, a interrogé en ligne début avril un millier d'hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et la moitié d'entre eux ont rapporté une baisse du nombre de leurs partenaires sexuels, et une utilisation réduite des applications de rencontres. Mais Travis Sanchez ajoute immédiatement une information inquiétante : un quart dit avoir des problèmes pour se faire tester, en raison de la fermeture de milliers de lieux de dépistage. Ceux qui continuent les plans d'un soir se retrouvent donc dans le noir sur leur statut - une bombe à retardement potentielle. «Il est très probable que les comportements à risque vont reprendre avant que les services de prévention aient totalement rouvert», s'inquiète le chercheur.A Washington, ville très touchée par le VIH, la clinique Whitman Walker a dû fermer l'accueil quotidien sans rendez-vous pour le dépistage de ce virus et d'autres infections sexuellement transmissibles (IST): syphilis, gonorrhée, chlamydiae. Une cinquantaine de personnes venaient auparavant se faire tester chaque jour, dont beaucoup de gays, pour qui c'était la routine, tous les trois mois.
Lire la suite »
VIDEO Michel Cymes « ne voit pas venir la deuxième vague » de Covid-19 en France - VoiciInvité à donner son opinion sur la possibilité d’une seconde vague du coronavirus, Michel Cymes s’est montré très rassurant. Ce lundi 11 mai dans C à vous, le médecin a expliqué pourquoi, selon lui...
Lire la suite »
Pas de «composé particulier» à l'origine de l'odeur de soufre en Ile-de-FranceLa préfecture de police de Paris a indiqué lundi soir ne pas avoir «identifié de composé particulier» qui aurait pu être à l'origine d'une odeur de soufre ressentie en Ile-de-France dans la nuit de dimanche à lundi. L'odeur, également comparable à celle d'œuf pourri, a été ressentie dans le nord de Paris, selon les témoignages de très nombreux internautes sur les réseaux sociaux. «Le laboratoire central de la préfecture de Police de Paris a effectué et analysé des prélèvements d'air. Ces analyses n'ont pas permis d'identifier de composé particulier, notamment soufré qui aurait pu être à l'origine de ces odeurs», selon un communiqué. «La préfecture de Police rappelle par ailleurs qu'elle n'a eu connaissance d'aucun événement du type incident industriel sur la région qui aurait pu en être la source», poursuit la préfecture de police. Deux hypothèses étaient envisagées, la source assainissement des eaux usées, et un nuage de dioxyde de soufre qui serait arrivé de l'étranger.
Lire la suite »
Coronavirus : reprise à pas comptés pour les athlètes de l'équipe de France - Athlé - CoronavirusLes meilleurs athlètes français ne seront pas tous sur le pont dès ce lundi, premier jour du déconfinement.
Lire la suite »
Angleterre : pas de sport professionnel avant le 1er juinEn Angleterre, le projet Restart monopolise toute l'attention des médias. La Premier League souhaite terminer la saison 2019/2020, mais les 20 clubs (...) - Footmercato
Lire la suite »
Déconfinement : Olivier Véran explique pourquoi le port du masque ne sera pas obligatoire dans l'espace publicLe déconfinement va commencer progressivement dès demain, lundi 11 mai. Olivier Véran était l'invité d'Anne-Claire Coudray pour faire le point sur les enjeux de cette reprise. Il est notamment revenu sur la décision du gouvernement de ne pas rendre le port du masque obligatoire dans l'espace public.
Lire la suite »