Yoon Suk Yeol, le président sud-coréen déjà impliqué dans des scandales, a instauré puis levé la loi martiale dans un contexte de débat parlementaire sur le vote du budget 2025. Menacé de destitution, son ministre de la Défense a offert sa démission.
En Corée du Sud, Yoon Suk Yeol , le président qui baignait déjà dans le scandale avant la loi martiale En Corée du Sud, Yoon Suk Yeol , le président qui baignait déjà dans le scandale avant la loi martiale … avant de rétropédaler quelques heures plus tard. Le dirigeant conservateur a perdu son bras de fer avec le Parlement qui a réussi, in extremis, à voter une résolution demandant le retrait de.
Comme le souligne l’AFP, c’est ainsi qu’il a attiré l’attention du Parti du pouvoir au peuple, malgré son manque total d’expérience politique ; c’est ainsi encore qu’il a remporté les primaires du parti, puis la présidentielle. Une élection remportée avec la marge la plus étroite de l’histoire du pays face à son grand rival Lee Jae-myung, leader du Parti démocrate.
Aussi, sa belle-mère, Choi Eun-soon, purge une peine d’un an de prison pour avoir falsifié des documents financiers dans le cadre d’une transaction immobilière et devrait être libérée en juillet.
Yoon Suk Yeol Loi Martiale Scandale Destitution Budget 2025 Politique Sud Coréenne
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