L'Inde a décidé de placer les plateformes de streaming comme Netflix, Amazon Prime ou encore Hotstar sous la juridiction du ministère de l'Information et de la Diffusion. Elles échappaient jusque-là au redoutable censeur indien.
Depuis l'arrivée des plateformes de streaming, les Indiens accèdent plus facilement à des contenus audacieux, là où les productions qui sortent en salle sont filtrées par l'organisme de certification des films pour en ressortir aseptisées. Au pays de Bollywood, la décision était redoutée de longue date.
« Les médias traditionnels sont déjà régis - et de façon plutôt régressive - par le ministère de l'Information et de la Radiodiffusion, qui est en substance le ministère indien de la Vérité »Un « bip » sonore pour recouvrir un langage fleuri