La Marseillaise : Au début de « Tasmania », le personnage principal, journaliste et enseignant, est pris entre deux feux : fin du monde, et fin du cou...
», le personnage principal, journaliste et enseignant, est pris entre deux feux : fin du monde, et fin du couple.: Pour moi il n’est pas apathique, il est obsédé par certaines idées. Quand la vie change d’un coup l’idée que tu te faisais de ton avenir, tu éprouves un peu de paralysie. Il ne s’agit pas de perdre quelqu’un suite à un événement tragique et brutal. Mais d’abandonner une idée, ici celle d’être père.
Au risque de vendre la mèche, malgré ses thèmes a priori plombants, le roman délivre une jolie morale à la fin, qui trouve sa source au sein du couple. P.G. : Il y a ça, et aussi l’idée d’avoir une petite famille recomposée. Le narrateur trouve ce qu’il avait déjà et qu’il cherchait aveuglément, obsessionnellement. Il l’a juste fait émerger quand il a arrêté d’y penser. C’est la même chose pour son mariage.P.G. : Ma femme a deux enfants, et je vis avec eux depuis maintenant 14 ans. Je les ai élevés.
N’est-ce pas un peu égoïste, en temps d’apocalypse, que de se recroqueviller sur sa cellule familiale, comme votre personnage ?n’a pas l’ambition de résoudre la crise climatique et l’apocalypse nucléaire ! Mais il y a cette dernière phrase dans le livre, sur le fait de pleurer... en fait je choisis d’écrire sur les choses qui me font pleurer. Je ne parle pas de pleurer comme quand on s’apitoie sur soi-même, dans un geste solitaire.
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