Un an après la défaite en finale de la Coupe du monde 2022 face à l'Argentine, notre journaliste Martin Mosnier compare cette défaite à celles du Mondial 2006 et de l'Euro 2016. Il explique pourquoi cette dernière défaite est moins traumatisante et analyse l'état de l'équipe de France à l'issue du match.
Il y a un an, jour pour jour, la France s'inclinait en finale de la Coupe du monde au Qatar face à l'Argentine. Pour notre journaliste Martin Mosnier, cette défaite est moins traumatisante que celle du Mondial 2006 face à l'Italie et même celle de l'Euro 2016 contre le Portugal. Parce que le scénario du match et l'état de l'équipe de France à son issue sont incomparables.2006, le traumatisme. La fin d'une génération et d'un nouveau monde : celui de la France qui gagne.
2016, la cruelle blessure. Parce que l'Euro, à la maison, devait remettre les Bleus au centre de l'échiquier mais qu'il a manqué l'essentiel : un titre. Et 2022 dans tout ça ? Sur l'échelle des douleurs du football français au XXIe siècle, où placer cette troisième finale perdue en 16 ans ? Un an après la claque, qu'en reste-t-il ? Une tonne de remords ? Le souvenir de cette défaite ne me déclenche pas la même douleur.Il n'existe pourtant rien de plus déchirant que rater un titre mondial pour une histoire de tirs au bu
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