Comédienne, réalisatrice, écrivaine et musicienne, Agnès Jaoui nous invite dans son jardin secret musical. Nous voyageons entre les chansons militantes de l'enfance, Cuba, le Brésil et Paris.
Comédienne, réalisatrice, écrivaine et musicienne, Agnès Jaoui nous invite dans son jardin secret musical. Nous voyageons entre les chansons militantes de l'enfance, Cuba, le Brésil et Paris.
Agnès Jaoui : Oui, il m’a fallu apprivoiser le chant en français. Dans le chant lyrique, ma formation, on chante surtout en italien et en allemand et dans la pop, il n’est pas si facile de faire swinguer la langue française. Et puis la langue étrangère me protégeait, elle faisait écran.A. Jaoui : Oui, la voix est bien mise en valeur, tout le travail de production a été fait de manière très précise.
A. Jaoui : Oui, il y a quelque chose de plus artisanal, de plus immédiat, j’ai appris à apprécier les spécificités de cet univers. J’ai découvert quelque chose de plus vivant,, moins contrôlé. On n’est pas enfermé dans le luxe éventuel du cinéma où l’on est un peu mis sur un piédestal. C’est plus sain. Sur scène, son succès, il faut le mériter chaque jour .A. Jaoui : J'avais deux ans.
A. Jaoui : Oui, c’était incroyablement libérateur. Les Français étaient timorés par rapport aux Américains.A. Jaoui :Mais oui, qui sait, cela fait partie de mes rêves.« On s'aimera cet hiver/ Quand la terre est peignée /Quand s'est tu le concert/ Des oiseaux envolésA. Jaoui : C’est un texte magnifique, Ferré est un grand poète. Il évoque un amour doux avec lequel affronter les saisons.A.
A. Jaoui : Il a écrit des textes pour des chanteuses qui sont extraordinaires, il a cette capacité à se mettre à la place des femmes. Il a aussi à son actif des chansons très érotiques.traduit par Nougaro en fait partie. C’est un immense poète et artiste. On a enregistré un duo qui va paraître bientôt, c’est un être que j’aime infiniment.
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