La présidente du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale qui défendait sa proposition de loi a été accusée par une partie de l’opposition de manquer de sincérité.
Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article
, les députés ont étudié mardi sa proposition de loi qui visait à imposer une peine d’inéligibilité à davantage d’auteurs de violences. Texte critiqué par les oppositions qui n’y ont vu qu’une réaction opportuniste à la condamnation d’Adrien Quatennens.
a-t-elle affirmé. Interpellée par la députée Danièle Obono, Aurore Bergé lui a répondu, les mains tremblantes et des trémolos dans la voix : «
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