«J'aimerais un jour vivre en dehors»: en Cisjordanie, ces enfants réfugiés qui ne connaissent que les camps

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Ils n’ont jamais vu autre chose de leur vie que les camps de réfugiés. Certains y sont même nés. Ce sont les enfants de réfugiés syriens forcés de quitter la Syrie quand, en mars 2011 la guerre a éclaté dans leur pays. Aujourd’hui, nombre d'entre eux vivent toujours tant bien que mal dans des camps de réfugiés, comme celui d’Azraq, en Cisjordanie.

Ils n’ont jamais vu autre chose de leur vie que les camps de réfugiés. Certains y sont même nés. Ce sont les enfants de réfugiés syriens forcés de quitter la Syrie quand, en mars 2011 la guerre a éclaté dans leur pays. Aujourd’hui, nombre d'entre eux vivent toujours tant bien que mal dans des camps de réfugiés, comme celui d’Azraq, en Cisjordanie.

Nous sommes habitués à vivre ici, mais j'aimerais un jour vivre en dehors du camp, dans une maison en briques, chaude en hiver et fraîche en étéUne situation initialement temporaire est devenue une réalité.

J'ai deux enfants qui sont nés dans le camp et ils me posent souvent des questions sur la vie à l'extérieur du camp, sur l'aspect des rues et des maisons, sur la vie, et je leur réponds en leur expliquant tout ce que je peux.: pouvoir un jour rentrer chez eux en Syrie. Mais dans un pays qui n’est pas sûr pour l’instant, tous craignent pour leur vie et préfèrent rester en Jordanie.

Nous apportons un soutien financier aux réfugiés afin qu'ils puissent mener une vie décente, sur place, ainsi qu'un soutien psychologique et moral aux nouvelles générations nées dans le camp, pour qu'elles puissent s'adapter à leur vie future au moment de leur retour dans leur pays d'origine.Entouré de grillage, Le camp d’Azraq est protégé par la police 24h sur 24. Elle contrôle les entrées et sorties du site.

En Arménie, six mois après la reprise du Haut-Karabakh par l’armée azerbaïdjanaise, la colère monte parmi les 100 000 déplacés installés en Arménie. Avec le sentiment d’avoir été abandonnés par le gouvernement arménien, ils peinent à trouver du travail et à payer leur loyer. Ces derniers jours, ils manifestent pour un meilleur soutien financier et davantage de reconnaissance de la part du gouvernement.

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