Faut-il y voir un effet du plafonnement des loyers, ou du durcissement des conditions de crédit ? Toujours est-il que l’activité ralentit, les ventes dans le neuf ayant même reculé de 25% sur un an.
Les investisseurs s’adaptent à l’encadrement des loyers, qui limite la facture à 22 euros le mètre carré des années 1970 à 1990 vers Vauban, et à 17 euros dans Lille Sud. «Plutôt qu’un petit deux-pièces, mieux vaut viser un grand studio, le prix au mètre carré autorisé y étant plus élevé», préconise Kevin Dotte, responsable immobilier chez Bevouac.
A l’inverse, les grandes surfaces sont à éviter, et ne peuvent se louer au-delà de 1.000 à 1.100 euros. «Il est sinon possible de viser, en périphérie, les villes de Loos, Ronchin et Faches-Thumesnil, où les loyers sont libres», poursuit Kevin Dotte. Et où le mètre carré varie de 2.000 à 3.000 euros, contre 3.500 à 4.000 intra-muros.
Les atouts du meublé séduisent. «Il permet d’exiger un plus gros dépôt de garantie, et de bénéficier d’une meilleure fiscalité», rappelle Kevin Dotte. Reste que le plafonnement des loyers s’exerçant aussi sur ce type de biens, mieux vaudra, là encore, viser des petites surfaces. Au centre-ville, un trois-pièces meublé de 50 mètres carrés, acheté 245.
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