Pour la première fois en deux ans, le chancelier allemand Olaf Scholz s’est entretenu vendredi 15 novembre avec Vladimir Poutine pour évoquer une fin de conflit en Ukraine, tandis que l’élection de Donald Trump accélère la perspective de négociations. Mais les Ukrainiens redoutent d’arriver en position de faiblesse à la table des discussions.
À Kiev, les températures prévues lundi 18 novembre vont de 1 à 6 °C. C’est le moment choisi par: plus de 120 missiles et 90 drones ont été tirés en même temps, dans la nuit de samedi 16 à dimanche 17 novembre, faisant au moins huit morts et entraînant des coupures d’électricité dans tout le pays., a indiqué la compagnie nationale d’électricité DTEK.
qui, pour la première fois depuis deux ans, a décroché son téléphone, vendredi 15 novembre, pour joindre le président russe. L’échange a duré plus d’une heure.
« De potentiels accords doivent tenir compte des intérêts de la Fédération de Russie concernant la sécurité, se fonder sur les nouvelles réalités territoriales et, surtout, s’attaquer aux causes profondes du conflit » , dit le communiqué du Kremlin rendant compte de l’échange. En clair : la Russie exige de conserver ses gains territoriaux, veut une Ukraine désarmée et neutre, ayant un gouvernement favorable à Moscou. C’est peu réaliste après deux ans et huit mois de guerre., la perspective d’une Ukraine vaincue reste difficile à accepter.
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