Fernando Di Leo, le soprano Réédition de la «trilogie du Milieu» dans laquelle le cinéaste italien excelle dans la description réaliste de l’ultraviolence de la mafia et rend compte du contexte politique troublé de l’Italie des années de plomb ⤵️
Réédition de la «trilogie du Milieu», où le cinéaste italien excelle dans la description réaliste de l’ultraviolence de la mafia et rend compte du contexte politique troublé de l’Italie des années de plomb.publié le 17 avril 2021 à 6h27
S’il est une figure de style qui préside au cinéma de Fernando Di Leo, c’est la ritournelle, le mouvement itératif, qui revient, obsessif, et s’accomplit en s’intensifiant dans la répétition de motifs, de plans, de visages, de phrases visuelles ou sonores. Et, comme en musique, ce qui prime ici, c’est l’ouverture, l’attaque.