« Notre histoire est jalonnée d’épreuves bien plus difficiles et nous les avons toujours surmontées », soulignent les Hospices
, a annoncé ce samedi soir la préfecture. « Les discussions qui se sont tenues n’ont pas permis d’aboutir à une solution de nature à pouvoir vérifier la sécurité sanitaire dans des délais aussi brefs », a déclaré à l’AFP la sous-préfète de Beaune, Myriel Porteous.
Ces dernières ont duré toute la journée de samedi, les Hospices civils proposant une solution qui aurait divisé la salle des ventes en deux, isolant les acheteurs des commissaires-priseurs. Cette solution avait été acceptée samedi soir par le CVV, qui avait retiré sa suspension, mais la préfecture a donc jugé que ces nouvelles modifications ne garantissaient plus la sécurité sanitaire.