Le procès de Mohamed Lamine Aberouz, poursuivi pour terrorisme, complicité d’assassinat de personnes dépositaires de l’autorité publique, complicité de séquestration d’un mineur de 15 ans, participation à une...
Le procès de Mohamed Lamine Aberouz, poursuivi pour terrorisme, complicité d’assassinat de personnes dépositaires de l’autorité publique, complicité de séquestration d’un mineur de 15 ans, participation à une association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteintes aux personnes, va débuter ce lundi 25 septembre devant la Cour d’Assises spéciale à Paris.
Quatre jours après le drame, Jean-Paul Salvaing lançait d’ailleurs un appel à l’apaisement. Il est toujours dans le même état d’esprit aujourd'hui. Être confronté à Jean-Paul Salvaing, à son sens de la vie, n’est pas une épreuve. Loin de là. C’est une rencontre. Une belle rencontre, avec un homme qui porte la parole de toute une famille. Un homme qui affiche une résilience qui ne peut que surprendre. Pas de mots durs. Pas de haine. C’est de paix qu’il veut parler.
"Nous faisions le point avec notre avocate et rentrer dans les détails ne pouvait rien nous amener. Non, rien. Nous sommes sur un attentat. Je le répète, je sais que ce sera difficile. Je crois que je suis prêt à entendre tout ce qui va se dire. Je suis parvenu à prendre un certain recul par rapport à tout ça. Je n’ai pas de haine, ni de colère."Pauline Dufourq qui va défendre les intérêts de la famille.
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