La cour d'appel d'Aix-en-Provence va examiner ce jeudi la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire. Depuis le 20 juillet, il est mis en examen pour avoir défiguré un jeune homme au tir de flash-ball en marge des émeutes. En signe de soutien, plus de 800 policiers se sont mis en arrêt de travail. Europe 1 a rencontré l'un d'entre eux.
? La décision de la cour d'appel d'Aix-en-Provence devrait être donnée ce jeudi. Depuis sa mise en examen, plus de 800 policiers se sont mis en arrêt de travail, en signe de soutien. Pierre* est l'un d'entre eux. Les traits tirés, le brigadier-chef tente de se reposer, de s'aérer l'esprit, mais en vain.
Anxiété, burn-out… Après des dizaines d'années de service, Pierre n'a plus peur d'utiliser ces mots."Il y en a assez. C'est possible que mon avenir ne se fasse pas dans la police nationale. Il y en a marre de bosser pour rien, que ça n'aille pas dans le bon sens. Peut-être que je ne finirai pas dans la police", explique-t-il.
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