Des préfectures ont pour ordre de réduire les hébergements d'urgence aux femmes victimes de violences

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Les associations qui leur viennent en aide, inquiètes et brisées par l’impossibilité de les aider, enragent face à de nouvelles directives préfectorales qui demandent de prioriser et de faire 'un tri des vulnérabilités'.

Dans une enquête inquiétante publiée le mardi 26 septembre 2023, "Mediapart" dénonce la réduction des places d'hébergement d’urgence pour les femmes sans abri ou victimes de violences. Les associations qui leur viennent en aide, inquiètes et brisées par l’impossibilité de les aider, enragent face à de nouvelles directives préfectorales qui demandent de prioriser et de faire "un tri des vulnérabilités".

Pour Nathalie Latour, déléguée générale de la FAS , l’été 2023 a été"catastrophique" :"Des consignes très claires ont été données aux préfets pour réduire le nombre de places, avec un tri des vulnérabilités." La priorisiation des publics pose aussi des dilemmes impossibles. Rebecca T., travailleuse sociale, donne un exemple concret aux journalistes Audrey Guiller et Nolwenn Weiler du journal d'investigation :"Est-ce qu’une femme victime de violences mérite plus d’être mise en sécurité qu’une mère et son enfant qui sortent de la maternité sans logement ?".

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