Les sapeurs-pompiers sont parvenus à maîtriser le sinistre, qui n'a pas provoqué de dégâts sur les œuvres
). Les sapeurs-pompiers sont intervenus dans la matinée, après que le déclenchement soudain d’un détecteur, au sein de cet écrin prestigieux.
Ils ont effectué une rapide reconnaissance du site, et ont rapidement constaté qu’il s’agissait d’un feu de câbles de haute tension, dans un local électrique d’Aucune œuvre exposée dans le musée n’a été touchée, et personne n’a été blessée. Visiteurs et employés ont été toutefois évacués, par précaution. Les amateurs d’art ont pu à nouveau profiter des collections du musée dans l’après-midi.
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
France/Inflation: Les consommateurs réduisent leurs achats de produits d'hygiène personnelle et de nettoyageLONDRES - Les consommateurs français achètent moins de produits d'hygiène personnelle et de produits ménagers fabriqués par de grandes marques comme P&G et Unilever alors que les prix augmentent, montrent des données compilées pour Reuters. Ce changement dans les habitudes de consommation pourrait renforcer les tensions entre distributeurs, responsables politiques et fabricants de biens de consommation qui s'affrontent depuis des mois sur les prix des denrées alimentaires. Les données recueillies par NielsenIQ montrent que le volume global des ventes de gel douche, de tampons, de produits pour la vaisselle, de lessive et de papier toilette a diminué sur un an au 17 septembre. Les prix des produits de chacune de ces catégories dans les supermarchés ont considérablement augmenté depuis le début du mois par rapport à la même période l'année dernière. 'Lorsqu'il existe de bonnes alternatives en matière de marques de distributeur, on observe un changement important en faveur des marques de distributeur', a déclaré Anton Delbarre, chef économiste chez Eurocommerce, la fédération européenne du commerce de détail et de gros. 'Ce que l'on constate également, c'est que certaines personnes mangent moins, se douchent moins, nettoient moins la maison ou utilisent un peu moins de produits pour leur lave-vaisselle ou leur lave-linge', a-t-il dit. Le gouvernement français devrait aborder mercredi la question des prix des produits alimentaires lors de la présentation de son budget pour 2024, et adopter une loi visant à avancer les négociations annuelles entre les marques et les supermarchés afin que les baisses de prix prennent effet à partir du 15 janvier au lieu du 1er mars habituel. Des fabricants de produits alimentaires tels que Nestlé et Pepsico ont été critiqués par les supermarchés et les responsables politiques pour ne pas avoir 'coopéré' dans les négociations et pour avoir réduit la taille des produits ou la quantité de produit à l'intérieur des emballages, tout en mai
Lire la suite »
Les distributeurs peuvent 'aller chercher des baisses de prix', juge LeclercPARIS - Les distributeurs français ont les moyens d'aller chercher des baisses de prix des produits alimentaires dans leurs négociations avec les industriels même si 80% de ces derniers se préparent à demander des hausses, a estimé mercredi Michel-Edouard Leclerc. 'On sait qu'il y a des secteurs où on peut aller chercher des baisses. Si on y va tous ensemble, ça devrait marcher', a déclaré sur franceinfo le patron des centres Leclerc alors que le gouvernement doit présenter en conseil des ministres un projet de loi pour avancer les discussions tarifaires annuelles entre les deux parties dans l'espoir d'obtenir une plus forte diminution des prix en début d'année prochaine. La hausse moyenne de 10% négociée pour 2023 a maintenu les prix alimentaires à un niveau élevé dans les supermarchés français alors même que les prix mondiaux des matières premières alimentaires baissaient fortement. La loi française prévoit une fenêtre de trois mois de négociations annuelles, ordinairement du 1er décembre au 1er mars, mais l'exécutif veut avancer la date butoir au 15 janvier. 'Il faut encore que le Parlement valide ce texte', a souligné Michel-Edouard Leclerc, 'et c'est pas gagné, parce que jusqu'ici, il n'y a pas eu d'accord entre le Parlement, y compris la majorité présidentielle, et le gouvernement.' 'Si les députés nous donnent cette nouvelle loi et plus rapidement, on a les moyens d'aller chercher des baisses', a jugé le président du groupe Leclerc, justifiant notamment son relatif optimisme par 'le rapport de force qui fait que nos marques de distributeurs aujourd'hui sont vraiment meilleur marché que les leurs'. Interrogé sur la possibilité d'un accord sur la modération des marges souhaité par Emmanuel Macron, Michel-Edouard Leclerc l'a estimé 'possible'. 'Il faut dans un premier temps qu'on renégocie, qu'on aille chercher si ce n'est des baisses, des moindres inflations pour 2024. Et je vous annonce que ça va le faire', a-t-il dit. (Rédigé par Jean-Stéphane Brosse, édité p
Lire la suite »
Les sociétés d'autoroutes ne seront pas autorisées à répercuter les taxes, déclare Le MairePARIS - Les sociétés d'autoroutes ne seront pas autorisées à répercuter sur le prix des péages le nouvel impôt que prévoit de leur imposer le gouvernement, a prévenu mercredi Bruno Le Maire. Dans un message à BFM TV, le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, a estimé qu'une hausse des taxes conduirait 'inévitablement' à 'une hausse des tarifs des péages'. 'Les tarifs des péages, c'est nous qui les fixons', a répondu le ministre de l'Economie et des Finances lors du compte rendu du conseil des ministres, pendant lequel le projet de loi de finances 2024 a été présenté. 'Donc, les compagnies d'autoroutes ne seront pas autorisées à répercuter les augmentations de taxes sur le prix des péages. Il y a des lois et elles s'appliquent à toutes et à tous.' 'Le Conseil d'Etat nous a autorisés à mettre une fiscalité sur les concessions d'autoroutes, sur les aéroports, c'est-à-dire sur toutes les infrastructures de longue distance, qui sont les plus polluantes (...) ce qui nous empêchera pas de maintenir la définition du tarif par les pouvoirs publics', a ajouté Bruno Le Maire. (Rédigé par Jean-Stéphane Brosse, édité par Blandine Hénault)
Lire la suite »
Le projet de loi sur l'inflation alimentaire en conseil des ministresPARIS - Le gouvernement présente mercredi en conseil des ministres un projet de loi contre l'inflation alimentaire qui obligera les grands groupes agroalimentaires et les enseignes de distribution à boucler leurs négociations tarifaires annuelles d'ici au 15 janvier, au lieu du 1er mars. En légiférant ainsi sur la date butoir, l'exécutif espère une baisse visible des prix alimentaires dès le début d'année, comme l'a expliqué le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire à la fin du mois dernier. Alors que dans la plupart des pays, distributeurs et producteurs ajustent régulièrement leurs prix, la loi française prévoit une fenêtre de trois mois de négociations annuelles, ordinairement du 1er décembre au 1er mars. La hausse moyenne de 10% négociée pour 2023 a cependant maintenu les prix des produits à un niveau élevé dans les supermarchés français alors même que les prix mondiaux des matières premières alimentaires baissaient fortement. Cette inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat des ménages s'impose depuis des mois au calendrier du gouvernement, qui a finalement décidé d'en passer par un projet de loi faute d'avoir pu convaincre tous les acteurs de diminuer leurs prix. Selon une source à Bercy, certains groupes n'ont pas attendu la loi pour commencer à négocier depuis que Bruno Le Maire a annoncé fin août que les négociations seraient avancées. Le texte qui sera soumis au Parlement concerne les entreprises réalisant au moins 150 millions d'euros de ventes en France ou 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires consolidé, ce qui inclut 75 grands groupes agroalimentaires fabriquant plus de la moitié des produits achetés par les Français dans les supermarchés. Sur le front parallèle des prix de l'essence, les centres E.Leclerc et Carrefour ont annoncé mardi qu'ils commercialiseraient le carburant à prix coûtant dès la fin de la semaine, à quelques heures d'une réunion à Matignon réunissant raffineurs, distributeurs et fédérations professionnelles dans l'esp
Lire la suite »
A Toulouse, des militants écologistes pointent les investissements des banques dans les projets de Total EnergiesUn petit groupe de militants s'est rassemblé ce mercredi devant le Crédit Agricole de la Place Wilson de Toulouse avec l'objectif de dénoncer les investissements réalisés par la société en faveur de Total Energies.
Lire la suite »
'Beurette des caves' : sur les réseaux, la police des mœurs 2.0 liste les 'Maghrébines problématiques'Sur X (ex-Twitter), un compte nommé « Union Maghrébine » a partagé une « liste noire » d'utilisatrices musulmanes qualifiées de « problématiques » en raison de leur « blancophilie » ou même de leur « féminisme ». Si le profil a rapidement été supprimé par la plateforme, il illustre une bigoterie islamique de plus en plus visible en ligne, qui vire souvent au harcèlement.
Lire la suite »