Une étude de la Fondation des femmes, publiée à la veille de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, rappelle que les victimes « ne portent pas plainte pour de l’argent ».
« Les victimes de violences sexuelles qui portent plainte ne gagnent pas d’argent sur leur viol,Se reconstruire coûte cher : frais de justice, frais de psy, déménagement, perte d’emploi, etc. »
Les victimes doivent également payer plusieurs centaines d’euros de frais d’huissier pour rassembler des preuves des faits qu’elles dénoncent.Le rapport préconise la suppression, dans les affaires de violences sexuelles, de laexigée pour se constituer partie civile : cette somme, assimilable à une caution et destinée à dissuader les plaintes abusives, atteint généralement 1.500 à 3.000 euros.
Autre recommandation : la revalorisation du barème de l’aide juridictionnelle, versée par l’État aux justiciables pour prendre en charge, partiellement ou totalement, leurs frais d’avocat.
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