Le père de famille impliqué dans le meurtre du professeur Samuel Paty, Brahim Chnina, répète cinq points de défense lors de son interrogatoire. Il soutient avoir cru le mensonge de sa fille, n'avoir pas réalisé les conséquences de ses actions, et croit que si la principale du collège lui avait parlé plus tôt, cela aurait pu prévenir l'incident.
Brahim Chnina, aujourd'hui accusé d'association de malfaiteurs terroriste criminelle en lien avec l'assassinat du professeur Samuel Paty, maintient cinq points de défense clés. Il affirme avoir cru le mensonge de sa fille, n'avoir pas mesuré les conséquences de ses messages, n'avoir pas été entraîné par Abdelhakim Sefrioui, avoir été choqué par la discrimination plutôt que par le blasphème, et croit que si la principale du collège lui avait parlé le 9 octobre, cela aurait pu éviter l'incident.
Ces points, qu'il répète invariablement, forment la base de sa défense lors de son procès devant la cour d'assises spécialement composée de Paris
BRAHIM CHNINA ASSASSINAT SAMUEL PATY COUR D'assises DISCRIMINATION BLASPHEME
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