Cet article a été initialement publié sur The Conversation.En réponse à la frappe du 1 avril responsable de la mort de 14 personnes, dont un haut commandant de la force Al-Qods, au consulat iranien à
En réponse à la frappe du 1 avril responsable de la mort de 14 personnes, dont un haut commandant de la force Al-Qods, au consulat iranien à Damas, Téhéran a mené une attaque inédite de 300 drones et missiles balistiques visant le territoire israélien.
Jean-Loup Semaan rappelle également que l’absence d’approche politique est volontaire de la part du premier ministre Nétanyahou qui aurait été dans l’obligation de soulever la question des priorités avec sa coalition. Il précise : Certains observateurs s’accordent pour reconnaître que le décalage entre l’appréciation stratégique de la situation par les Américains et les Israéliens ainsi que les divergences qui s’accentuent sur la conduite de la guerre à Gaza, expliqueraient l’attaque israélienne du 1 avril contre le consulat iranien à Damas perçue comme une agression flagrante et provocatrice par Téhéran.
« Au-delà du Hamas, il y a la volonté pour une bonne partie du gouvernement israélien de parvenir à expulser la population de la bande de Gaza et d’accroître le nombre et l’étendue des colonies en Cisjordanie, le plan annexionniste se réalise par ces opérations militaires d’une sauvagerie absolument inouïe. », Patrick Wintour, rappelait l’évolution des représentations au sein même du milieu intellectuel occidental.
Il est clair que la décision de l'administration Biden d’augmenter l’aide humanitaire tout en continuant à fournir le soutien financier et matériel nécessaire à l’effort de guerre crée une incompréhension et de la frustration pour une partie de l’opinion publique aux États-Unis notamment au sein du camp démocrate.
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