Une bande de jeunes colons de l’espace avides de liberté, confrontés aux conséquences du tout premier film « Alien » de Ridley Scott. Voilà la promesse du réalisateur uruguayen.
Porté par le prometteur réalisateur uruguayen Fede Álvarez, ce septième film de la saga délivre un sacré coup de jeune, tant par son casting que par ses ambitions d’offrir une nouvelle porte d’entrée dans cet univers, tout en respectant ses codes.
En choisissant un groupe d’amis comme personnages, j’introduis des sentiments puissants entre eux. Vous allez souffrir quand vous les verrez mourir. Dans mon film, ce n’est pas chacun pour soiRain et Andy forment un duo rafraîchissant pour la saga, tout en prolongeant les stéréotypes d’Alien : une jeune femme forte ou un androïde aux aspirations humaines.
Bien conscient de son lourd fardeau, il explique avoir voulu rendre hommage au premier film, tout en y apportant sa touche personnelle. Un exercice dont il était déjà ressorti avec les honneurs avec son remake d’La difficulté pour moi est que j’espère ne pas avoir été ’trop’ fidèle au premier film. Que les spectateurs comprendront que je voulais le respecter, mais en osant le réinventer.
Loin de se satisfaire uniquement de son aspect horrifique, Romulus propose également un prolongement de thématiques chères à la saga : comme celle des androïdes, découverts avec. Des êtres difficiles à décrypter, à l’image d’Andy dans ce nouveau film.
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