La convention doit se positionner d’ici le mois de mars sur un éventuel changement de la loi
, réunis au Conseil économique social et environnemental , dont c’était le deuxième week-end de travail, « se sont accordés sur les 10 premiers enjeux prioritaires sur lesquels ils travailleront lors des prochaines sessions », à partir du 6 janvier.
Parmi eux, figurent « la formation initiale et continue des personnels médicaux, paramédicaux et accompagnants », « l’information du grand public » sur les dispositifs existants, mais aussi « l’économie de la fin de vie », notamment les moyens humains et financiers. Sera aussi examinée la question de savoir s’il existe « des
, silencieuses, qui ne seraient pas traitées par les soins palliatifs » ou encore « le traitement de l’aide active à mourir pour les formes extrêmes de souffrance psychique . », sans garantie d’être suivis, à partir de cette question : « Le cadre d’accompagnement de fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées ou d’éventuels changements devraient-ils être introduits ? ».